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KALÉIDOSCOPES !

Fragments culturels paraissant chaque samedi matin

Auteur/autrice : Lucioles

  • Kaléidoscope 194: Émerveillés par la flore des montagnes…

    J’ai vu une fleur sauvageQuand j’ai su son nomJe l’ai trouvée plus belle.   Je reprends à mon compte ce haïku mis en exergue d’un livre qui ambitionne de faire connaître les fleurs sauvages de nos campagnes.   On doit à Hubert Reeves, l’auteur de “Patience dans l’azur” et de “Poussières d’étoiles”, un homme qui, ayant plutôt…

  • Kaléidoscope 193: Rediffusion de K8: Gouverneurs de la rosée.

    C’est en mai 2018 que j’ai envoyé mon premier kaléidoscope. Semaine après semaine, un samedi après l’autre, j’ai lancé ces petites bouteilles à la mer.   Celle que j’avais commencé à écrire ne me paraissant pas suffisamment remplie, j’ai préféré en relancer une ancienne, écrite il y a quatre ans, jour pour jour.   J’avais lu,…

  • Kaléidoscope 192: Vert de terre (au carré!). Trintignant.

    Mathieu Vidard recevait ce vendredi 10 juin dans son excellente émission consacrée à l’avenir de notre (encore) belle planète, “La terre au carré” ( du lundi au vendredi à 14h sur France-Inter) Loup Espargelière, le rédacteur en chef de VERT, journal indépendant d’actualité en ligne sur l’écologie. https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/la-terre-au-carre/la-terre-au-carre-du-vendredi-10-juin-2022-8748629    Je dois avouer que j’ignorais l’existence…

  • Kaléidoscope 191: Seringa

      Mon avant-dernier kaléidoscope s’intéressait à une fleur commune, si délicate et si fragile , à la robe écarlate et fripée, symbole et symptôme de la biodiversité.     La fleur de cette semaine n’a pas grand-chose en commun avec le coquelicot. Elle est portée par un arbuste au port buissonnant qui atteint facilement trois mètres…

  • Kaléidoscope 190: Maxime Combes: Un pognon de dingue! Rencontre à Vienne le 1er juin.

       C’est en octobre 2015 que Maxime Combes publiait “Sortons de l’âge des fossiles!” sous-titré “Manifeste pour la transition”. Le moins qu’on puisse, presque sept ans après, c’est que cette injonction, n’a pas été reprise par ceux qui nous gouvernent. Cet état des lieux fondé sur des données scientifiques était un appel à la raison…

  • Kaléidoscope 189: Printemps, acacia, coquelicot et iris.

    Le printemps a rarement été aussi beau. Il est vrai que, l’an dernier, un coup de gel mal placé avait dégommé bourgeons de la vigne et fleurs des arbres: un printemps sans cerise n’est pas tout à fait le printemps!    Les fleurs d’acacia, très peu présentes l’année dernière, ont mis, en ce joli mois de…

  • Kaléidoscope 188: Vitalina Varela de Pedro Costa présenté par Jean-Yves Loude.

       Il y a un mois j’avais confié les clés de mon kaléidoscope (qui fête ses quatre ans cette semaine!)  à notre ami Jean-Yves Loude, impressionné par le film documentaire de Thierry Michel “L’Empire du silence” sur le sort des enfants congolais qui descendent dans les mines, au péril de leur vie, pour extraire les…

  • Kaléidoscope 187: Fracture sociale et fracture climatique, même combat.

       L’inaction climatique de l’État français a été condamnée fin 2021 par le tribunal administratif de Paris. Il devrait réparer les dommages qu’il a causés avant le 21 décembre 2022.    Notre vote aux législatives peut peser pour obliger le prochain gouvernement à respecter les engagements carbone pris entre 2015 et 2018. On est loin…

  • Kaléidoscope 186: Jacques A. Bertrand, délicatesse du capricorne.

     “Il est parti, comme il a vécu, avec élégance, c’était la Pleine Lune et les cloches de Pâques.” C’est ainsi que Marika, sa compagne, nous a annoncé le départ de Jacques A. Bertrand qui se battait -sur plusieurs fronts- contre la maladie. Son dernier livre, au titre prémonitoire “Dernier cri avec post-scriptum”  (Mialet-Barrault éditeurs de…

  • Kaléidoscope 185: L’instant précis où Monet entre dans l’atelier de Jean-Philippe Toussaint.

     “Je veux saisir Monet là, à cet instant précis où il pousse la porte de l’atelier dans le jour naissant encore gris. C’est le moment du jour que je préfère, c’est l’heure bénie où l’œuvre nous attend. L’aube est fraîche, l’air vif picote les joues. Il est un peu plus de six heures et demi…